Comme Siméon le Stylite, Simon vit en ermite sur une colonne. Un riche miraculé lui en offre une encore plus haute et plus belle. L'homme se livre à la prière, au jeûne et à la méditation. Lorsqu'il rend ses mains à un voleur à qui on les avait coupées en guise de châtiment, ce dernier s'empresse de gifler son fils. Il bénit des insectes car « ça occupe, et puis ça n'offense personne » mais est surtout en butte aux attaques du Malin, d'abord dans ses rêves : une danse œdipienne avec sa mère, qui vit mélancolique dans une hutte au pied de la colonne. Le diable lui apparaît sous plusieurs formes: une femme qui passe, une fillette au cerceau qui découvre ses cuisses et sa poitrine adulte, Jésus ricanant qui donne un coup de pied au doux agneau. Lorsqu'un « jet » les emmène ensemble à New York, peignés et la barbe bien taillée, Simon voit les beatniks se livrer à une danse nommée « chair radioactive ».
Titre | Simon du désert |
An | 1965 |
Genre | Comédie, Drame |
Pays | Mexico |
Studio | Sindicato de Trabajadores de la Producción Cinematográfica (STPC) |
Jeter | Claudio Brook, Silvia Pinal, Hortensia Santoveña, Enrique Álvarez Félix, Francisco Reiguera, Luis Aceves Castañeda |
Équipage | Carlos Savage (Editor), Luis Buñuel (Dialogue), Raúl Lavista (Original Music Composer), Luis Buñuel (Screenplay), Gustavo Alatriste (Producer), Julio Alejandro (Screenplay) |
Mot-clé | faith, nightclub, miracle, goat, prophet, devil, rock band, desert, religious fundamentalism, saint, hypocrisy, temptation, 4th century |
Libération | Aug 27, 1965 |
Durée | 44 minutes |
Qualité | HD |
IMDb | 7.60 / 10 par 216 utilisateurs |
Popularité | 7 |
Budget | 0 |
Revenu | 0 |
Langue | Español |